Discution en privé [ Silveros ]

Graphiste officiel Messages : 69 Date d'inscription : 03/04/2009

[ Suite du hall ]

... Delna laissa donc un message au surveillant, question de discuter avec lui. Mais pas ce soir car pour le moment, elle voulait trouver quoi dire au jeune homme pour ne pas le vexer de nouveau. Il était préférable d'en faire un ami, ou du moins un allié, plutôt qu'un ami mortel et faire la guerre à chaque croisade et regard. Sur le papier qu'elle laissa au jeune gardien, elle avait écrit :

Citation :: '' Venez me voir demain soir à 19hrs au local d'art ! Nous serons tranquille... Delna

P. S : J'apporterai du café ... ''

Et elle quitta les lieux pour aller prendre un bon bain chaud. La journée avait été mouvementer et la dame avait besoin de repos. Certes, elle n'oublierait pas de si tôt cet attaque intra-personnel et elle écrivit même une lettre de plainte, en misant sur les détailles de tout les faits et gestes de chacun, en cachant rien sur ce qui c'était passer. Elle sauvegarda ce texte sur une clé USB qu'elle cacha dans un conduit d'aération. C'était légèrement paranoïaque, mais on était jamais trop prudent. Si elle voyait juste, cette école avait été victime de faits étranges, les unes des autres. Alors, Slavoski préférait rester sur ses gardes, mais surtout depuis cet homme, Delna ne voulait plus prendre de chance. Après tout cela, la jeune femme ferma toute lumière de sa maison, alluma quelques chandelles, mit de la musique de détente et entama une méditation de vingt minute qui saurait lui faire récupérer quatre à six heures de sommeil. Devant tout ces actes, de nouvelles idées de peinture germait en elle. Inspiration... expiration... inspiration... expiration. Voila ce que fit Delna pendant cinq minutes avant d'entamer les chants de moine que l'on entendait toujours ...

- Haaaa ummmmmmmmmmm...

Pendant plus de vingt minutes, la jeune femme quitta le monde et flottait dans un monde calme, déconnecter de la réalité et ne pensait plus à rien. Lorsqu'elle revint vers elle, sont corps se leva pour se diriger vers sa salle de peinture, enfila un sarrau et elle commença à peindre pendant toute la nuit. Sur la toile, on put voir un homme à la fois étrange et beau, possédant des tatouages partout sur le corps, qui était nue et une femme qui courrait pour se sauver de cet homme. La toile était sombre, mais magnifique. La jeune femme peignait avec une dextérité remarquable, ce qui lui avait mériter sa popularité. C'est à l'aurore qu'elle fini sa toile et qu'elle alla se coucher pour ne se réveiller que vers midi. Cette toile serait un exemple parfait pour montré à quoi le tuteur attendait de ses élèves.

La jeune femme prit son café, fit son exercice du jour, se lava, mangea et quitta les lieux pour aller chercher sa robe, qui heureusement était redevenu totalement blanche. La jeune femme alla aussi en ville chercher des stylos, crayon, livres, cahier... bref tout ce qu'elle avait besoin pour ses cours. Son premier cours traiterait sur les couleurs, leur nuance, leur différence, les contraires, l'origine aussi des couleurs. Bref, un cours assez charger. Et avant d'aller à l'école, elle alla chercher une cafetière pour l'installer dans son local et ainsi avoir accès à son café. Café, sucre et lait furent les dernières chose acheter, ainsi qu'un petit frigidaire, question d'y entreposer sa nourriture et les divers chose, ainsi que divers peinture qui demandait à être au frais. Et maintenait, l'école pour préparer son cours et ainsi discuter avec le surveillant. Et la jeune femme s'installa une fois arriver, attendant que le surveillant arrive. Lorsqu'il arriva dix-huit heure cinquante, elle prépara le café avec de l'eau pur, qu'elle avait évidemment acheter avant d'arriver. Pas question de faire du café avec de l'eau polluer de l'évier. Pour ce qui concernait son petit frigidaire, elle avait louer les services des installateur du magasin pour ne pas a avoir à le transporter tout seul, étant pas assez forte pour le porter elle-même. Il ne restait donc plus la venu du surveillant.

Co-admin Messages : 97 Date d'inscription : 24/03/2009 Age : 32

Les soirée chez Silveros était pas mal simple...Il allait se coucher remplis de douleur pour se lever,remplis de douleur.Il fit son hygiene matinal,donc une douche,il n'avait pas besoin de se raser puisqu'étrangement,depuis que sa maladie était arriver,a part ses cheveux,plus rien ne poussait coté poil...Enfin bref,il mit tout les dizaines de vêtement qu'il mettait tout les jours...Il alla ensuite au local des professeur pour se faire rapidement un café et partir avec que les autres professeur arrivait.C'est alors que,juste avant de partir,il trouva dans son petit casier ou on mettait le courrier,il avait quelque chose.C'était plutôt rare....Il prit et vit la lettre.Oui,il comptait le faire ce jour aussi.S'excuser d'avoir perdu le contrôle de son corps.Il n'était pas encore aller calmer sa douleur,mais ce n'était pas ce qui allait l'arretter.Elle allait avoir les excuses qu'elle méritait,puis il s'arrangerait pour ne plus jamais la revoir...

Il se dirigea donc au local de la professeur d'art dramatique...lentement.Puis il prit une grande respirations D'au moin 5 minute a rester prêt de la porte et entra.Il ne laissa pas le temps a la professeure de parler,il alla devant son bureau et lui dit:

-J'ai quelque chose a vous dire mademoiselle....Et je ne désire pas réponse.

Il se mit alors a genou,main sur le sol,tête baisser,comme le faisait les japonais lorsqu'il voulait fortement s'excuser,montrer du respect ou supplier.Et c'était environs pour ces trois raison qu'il était la.Il commencea:

-Je ne cherche pas a me faire pardonner,mais je tient a m'excuser tout de même.Ce que j'ai fait ne peut être pardonner et je ne veux pas que vous le fassiez.Je n'aurais jamais frapper une femme de mon plein grés,jamais peut importe la raison.Mais je ne suis plus du tout moi-même,ma maladie me rend fou de douleur et j'y vois de moins en moins clair.Je m'excuse de vous ennuyer avec mes problèmes,mais tout sa pour en revenir: Désolé.Désolé de vous avoir manquer de respect,de vous avoir agresser,tout.Normalement,j'aurais quitter l'école après m'être excuser pour vous laisser en paix,mais ici est ma seule maison.Je n'ai nul part ou aller et non,je ne suis pas un lépreux.Tout le monde a peur de moi,donc je n'ai aucune confiance de qui que ce soit ,que ce soit dans un appartement ou un magasin.Je ne vivrai probablement plus tres longtemps,cette maladie me terrassera un matin ou un autre,elle me donne l'impression d'avoir 80 années de plus.

Son corps tremblait,ayant de nouveau une crise de douleur,a force d'être dans cette position,mais il continua:

-Maintenant,je vais cesser de vous ennuyer avec mes problêmes et je ferai tout pour ne plus vous causer de problème et encore moins de douleur.La seule chose que je voulais vous dire était : Non,je ne suis aucunement de un batteur de femme,ou un être violent.Et je me crois encore moins supérieur a vous tous,au contraire.

Il se releva avec tant de bien que de mal,ses jambes tremblait sous la douleur,il se tourna et se dirigea vers la porte.Il n'avait plus rien a dire,il était de partir.Il ne voulait pas rester dans cette classe une seconde de plus.Il prendrait conger pour retourner ce coucher,il en pouvait déja plus...

Graphiste officiel Messages : 69 Date d'inscription : 03/04/2009

Delna écrivait déjà quelques paragraphes lorsque le gardien arriva. Elle n'eu même pas le temps de lui proposer un café que l'autre parla sans arrêter, il alla jusqu'à se mettre à genou, comme si il voulait la supplier. Tout cela était fort étrange pour la dame et peu courrant. Et a peine avait-il eu le temps de terminer, qu'il se tourna pour partir. Delna se leva et posa délicatement sa main sur l'épaule de l'homme, faisant attention de ne pas lui faire mal... ne venait-il pas de dire qu'il était malade ? Elle l'empêcha donc de partir.

- Un instant... je veux vous parler moi aussi... revenez et assisez vous... et prenez un café...

Elle tenta bien que mal de le faire assoir sur la chaise, pris une tasse, versa du café et l'apporta a Silveros, suivit du sucre et du lait. Elle ignorait ce qu'il mettait alors donc. Slavoski tendit aussi une cuillère au cousin du directeur. Elle le regarda alors, question de mieux regarder ses marques sur son visage. Lépreux... en fait, il ne ressemblait pas vraiment à ça. En fait, Delna trouvait intéressant ces marques sur son visage, se demandant si il en avait sur tout le corps. Étant une femme de l'art, ces marques étaient une sources d'inspiration pour la jeune femme...

- Je voudrais moi aussi m'excuser de vous avoir traiter ainsi... J'ai manqué de maturité à vôtre égard. Enfin, je ne veux pas que nous soyons ennemis et ne vous inquiété pas, je ne porterai pas plainte contre vous. J'ai mieux à faire que d'aller voir la police pour remplir ces papiers et tout raconter. Je voulais aussi vous dire... vôtre cousin ma légèrement expliquer vôtre situation... Alors donc, je passerai l"éponge. Maintenant... j'aimerais vous parler de vôtre apparence... aucune inquiétude, cela sera plutot possitif. Je dois vous avouez que vos marques m'inspire énormément, car elles possèdent un certain genre intéressant et mystique... ho, désoler. Je me laisse souvent emporter sur les sujets qui sont question de l'art... Bref, je voulais m'escuser surtout de vous avoir critiquer sur cet aspect. Elle sont très charmante en fait... Bon, si vous voulez restez, vous pouvez, mais moi j'ai du travaille à faire... Alors donc... Merci de vôtre patience...

Et Delna prit place sur sa chaisse, laissant l'autre libre de ses choix.

Co-admin Messages : 97 Date d'inscription : 24/03/2009 Age : 32

Alors qu'il partait,Silveros sentit une main le retenir par l'épaule.Il arretta de bouger et se retournant,curieux de voir pourquoi elle le retenait.Elle lui dit qu'elle désirait lui parler a lui aussi.Elle lui indiqua la chaise,mais Silveros lui fit signe qu'il préférait rester debout.Elle lui offrit même un café,mais refusa le sucre et lait...Si c'était bien une chose qui lui remontait le moral ou faisait un peu oublié la douleur était bien le café bien noir et amer.Et chaud,n'oublions pas le chaud...La chaleur était peut être la seule chose qui le faisait sentir en vie.Il bût tranquillement une gorgée et écoutant,sans daigner lever les yeux vers la femme qu'il avait frappée.Elle s'excusa brievement,malgrés que Silveros ne comprit pas trop pourquoi elle s'excusait,mais dit rien et l'écouta.Elle parlait de son physique,de ses marques qu'elle l'inspiraient.La pitié,c'était tout ce qu'elle montrait en ce moment.Il finit son café avant de répondre en posant la tasse vide a coté de la cafétiere:

-Une personne telle que vous peux pas me comprendre ce coté la.En fait,personne le peux.Je suis venu pour m'excuser,pas pour recevoir de la pitié ou autre.Enfin,j'espere que je vous ai pas trop fait perdre de temps...Je vais y aller.Désolé de vous avoir fait perdre autant de temps....Passer une bonne journée...Si sa vous interesse,je me nomme Silveros....Je connais votre nom alors,j'ai penser que c'était....impolie que vous ne sachiez pas le mien.Adieu...

Puis sans vraiment lui laisser le temps de lui répondre,il partit pour aller hanter les couloirs et peut être aller faire un petit tour en ville.Il était temps d'en finir pour cette semaine,de cette douleur intense et suivre les conseillent d'Olbreo.Il faisait trop de mal aux autres dans cette position,quoi qu'on pourrait penser qu'il leurs rendait ce qu'on lui donnait.

*Une amie,pff...tu parle,personne voudrait être vu avec moi...sa serait sympa,pour une fois de ce faire voir en tant qu'humain ou personne normale.Sa apaiserait peut être un peu de cette douleur inutile...*

Graphiste officiel Messages : 69 Date d'inscription : 03/04/2009

Malgré ce que Silveros pouvait croire et le caractère de Delna, elle n'avait aucune pitier envers lui.. en fait, cela n'existait même pas dans son vocabulaire. Elle l'avait rayer de sa liste depuis le jour où... en fait, il ne fut jamais enseigner par ses parents adoptif. Il fallait savoir qu'ils avaient fait bien payer son ancien petit ami sans aucun remord, ni pitier. Alors, Delna trouva cela étonnant que l'autre puisse penser une seule seconde que la dame puisse avoir de la pitier... Elle crachait sur se mot et ces sentiments. La pitier était en fait une chose vulgaire qui servait au gens de se plaindre sur leur sort et de laisser aux gens de considérer les autres comme étant de pauvre petite victime. Cette femme gardait toujours la tête haute, que ce, même lorsque son ancien copain la battait. Jamais elle avait flancher devant lui, jamais elle avait demander de l'aide aux gens, jamais elle avait porter plainte contre lui et elle en avait encore moins parler à ses pères. Ils l'avaient découvert par eux-mêmes et Delna ignorait même ce qui était arriver à ce batteur de femme...

Alors, lorsque Silveros quitta la classe du professeur d'art, il put entendre ces quelques mots :

- La pitier ne fait pas partie de mon vocabulaire...

Et elle replongea dans sa préparation de cours...

[ Topic Terminé ^^ ]

» L'air pur... (Silveros)
» Discussion sérieuse ( PV Silveros)
» Une histoire sans fin ( Delna et Silveros)