Achat important (libre 1 personne)

Ichiro avait besoin de sortir un peu, il passait son temps a préparer ces cours ou encore a dormir. Il n’en revenait presque pas lui même jamais il n’avait passer autant de temps a ne pas faire la fête, sa devait faire au moins deux semaines. Il sorti de chez lui pour ce rendre a l’épicerie, il pris un panier et ce mis doucement a faire le tour. Il allait faire pas mal de repas a l’avance et ainsi il pourrait tout bien organiser pour passer plus de temps a s’amuser. Il pris un nombres des plus impressionnant de légumes et de fruit, il ferais certainement plein de bonne choses avec tout ceci. Il marchait tout doucement son regard un peu perdu, il pensait a cette école. Plus le temps passait plus il trouvait tout ceci étrange. Il ne savait pas trop ce qui n’allait pas, mais il avait de drôle de sentiment quand il s’y trouvait. Le surveillant lui donnait froid dans le dos et simplement penser a l’homme lui était désagréable. Il n’avait toujours pas rencontrer le directeur de l’école, bien que depuis son arrivé il avait voulu ce rendre a son bureau. Il avait toujours eu quelque un qui voulait lui parler ou des choses du genre durant qu’il s’y rendait. Il avait reçu un ou deux téléphone de l’homme, mais rien d’autres. Il tourna un coin avec son panier il le fit certainement un peu trop rapidement sans vraiment regarder autour de lui car il entra en collision avec le panier d’une autre personne. Il ne la regarda pas tout de suite regardant ce qu’il avait fais tomber d’une tablette en même temps.

-Je suis vraiment désolé, je n’ai pas fait attention... Pardonnez moi est-ce que nous nous sommes déjà vu...

Il avait cette drôle d’impression de déjà vu, mais il ne savait pas du tout ou il avait pu rencontrer cette personne auparavant. Il la regarda de la tête au pied incertain qu’il la connaissait ou son esprit lui jouait des tours une fois de plus.

A vrai dire, Hagosan était plus sortie pour faire des courses que pour prendre l'air. Mais comme elle était seule c'était quand même plus agréable d'aller à l'épicerie. Ses repas n'étaient pas très variés mais elle ne raffolait pas non plus de surgelés. Elle se servit donc d'un pack de viande, du riz, des pâtes, des oeufs... Bref, tout ce qu'une cuisinière moyenne était capable de cuisiner. L'étudiante était dans la lune. Elle pensait à Sheryl et Mr Kanness... enfin, plus à la jeune fille qu'elle avait congédiée froidement sans demander son reste.

*Bah après tout, c'est pas mon problème...* pensa-t-elle dédaigneusement.

Au détour d'un rayon, quelqu'un la percuta, faisant tomber sa boîte d'oeufs. Sans prêter attention au maladroit, Hagosan ramassa la boîte. Un seul oeuf était intact. Elle sortit un mouchoir pour s'essuyer les mains et fixa l'homme d'un air mauvais. Il venait de casser ses oeufs et tout ce qu'il trouvait à faire c'était lui demander s'ils ne s'étaient pas déjà vu. Bon, il s'était quand même excusé, mais cela ne suffisait pas.

- Vous me rappelez vaguement un type que je ne supporte pas mais à part cela je ne vous ai jamais vu, non. J'espère que vous comptez rembourser la casse? Je n'en ai pas du tout l'air mais je ne roule pas sur l'or, voyez-vous...

Malgré le fait qu'elle voulait que l'homme la rembourse, Hagosan s'éloigna d'un pas vif, trop énervée pour rester face à l'homme. Il n'avait pas l'air méchant, ça c'est sûr. Il avait même un air stupide presque attachant et surtout, il s'était platement excusé. Mais la japonaise ne pouvait pas effacer cette image, ce visage sadique qui s'était penché sur elle ce jour-là à la fête forraine. Eviter donc l'homme qui lui avait cassé les oeufs était le meilleur moyen pour éviter une bagarre, car peu de choses peuvent empêcher Hagosan de déclencher une rixe, surtout dans une situation comme celle-là...
Mais bon, le type en question la suivait dans le magasin en lui parlant. Elle tentait de l'ignorer en vain...

Il regarda la jeune femme surpris de sa forte réaction, oui il l’avait bousculer, mais c’était un accident qui pouvait arriver a tout le monde. Pourquoi lui en tenir autant rigueur surtout après qu’il lui ai demander pardon. Elle lui parla encore plus froidement que son regard ne pouvait le laisser exprimer,laissant simplement échapper un soupir il ce retient pour de pas dire le fond de sa pensé. Elle lui demanda si il allait payer pour les oeufs qui était cassé il regarda dans son panier il avait la même boite que cette demoiselle il la pris dans ces mains. Il voulu lui donner, mais elle c’était déjà éloigner de lui il la suivi donc pour pouvoir ainsi lui redonner.

-Pardonnez moi encore vous n’avez qu’à me donner la boite qui es cassé je vais vous donnez les mien comme cela vous n’aurez pas a retourner en chercher d’autres ni a les payer... Je pense que c’est un minimum de ma part....

Elle allait certainement lui répondre une autre phrase aussi tranchante que la première, mais une fois de plus il ne pouvait pas vraiment lui en tenir rigueur. Il la regarda sachant maintenant a quel endroit qu’il l’avait vu auparavant. Pourquoi l’ennuyer avec un détail du genre elle ne semblait pas vouloir du tout ce souvenir de lui. Il l’avait croiser a une au deux reprises dans les longs couloirs de cette école ou il était maintenant professeur. Il lui fit un petit sourire en coin, puis passa sa main dans ces long cheveux blond. Il repris ensuite doucement sa marche.

-Encore une fois désolé du désagrément et je vais certainement avoir la chance de vous voir a un de mes cours... J’aime bien les gens qui dissent ce qu’il pensent...

L'homme proposa à Hagosan de lui donner sa boîte pour qu'elle n'ai pas à payer une boîte en plus. Il la suivait en gardant la boîte intacte dans ses mains, bien décidé à lui donner. Oui en effet, c'était un minimum de sa part. C'était même vraiment très gentil, mais le cœur d'Hagosan était devenu tellement sombre qu'elle ne voulait pas admettre que l'homme était gentil.
La japonaise s'arrêta brusquement et se retourna pour le fixer dans les yeux. Lui aussi la regardait, il semblait vraiment la reconnaître. Ce n'était quand même pas lui... Hagosan ne pourrait pas s'empêcher d'attenter à sa vie si c'était le cas.

*Mais non, un homme généreux et niais comme lui ne peut pas...*

Mais comme elle n'était pas capable de se rappeler qu'elle l'avait simplement croisé une ou deux fois dans les couloirs, elle gardait l'hypothèse du violeur en tête. Au moment où il lui sourit en coin, elle prit avec méfiance sa boîte d'oeufs et s'éloigna de trois pas, tout en lui faisant face. Plus il avançait et plus elle reculait, on aurait dit un chat errant.
Il s'excusa à nouveau et lui parla de la revoir à ses cours.

*Hein? Il est prof? Comment il pourrait savoir qu'on vient de la même école??*
Elle évita cependant de lui poser des questions qui pourtant la tourmentaient et répondit:

- Vous n'allez pas être déçu, Monsieur. En matière d'exprimer ce que l'on pense, je suis imbattable...

Elle lui rendit son sourire en coin et se rendit à la caisse. Il la suivit, elle en profita.

- Puisque vous êtes si sûr de me connaître, pourriez-vous me dire où vous m'avez vue? J'avoue que je ne m'en souviens pas... Ah et si vous pouviez me dire votre nom...

La jeune femme a qui son nom lui échappait toujours semblait avoir peur de lui. Cette sensation fut encore plus grande quand elle ce mit doucement a reculer un peu plus a chaque pas qu’il fessait en sa direction. Il aurait voulu la rassurer, mais il ne savait pas pourquoi elle avait peur et ne savait donc pas quoi lui dire. Il lui fit un petit sourire en coin, puis pris une boite de biscuit au chocolat, puis une deuxième. Il regarda l’intérieur de son panier, la jeune femme lui dit qu’elle n’avait pas la lange dans sa poche, il lui fit un autre sourire.

Il avait finalement compléter ces achats, il ce dirigea vers les caisses, pour s’append que la jeune fille aussi s’y rendait. Puis finalement prêt des caisses elle fini par lui demander pourquoi il était aussi certain de l’avoir déjà vu et elle lui demanda son nom.

-Je me m’appelle Ichiro Kanji, je suis un des professeur du lycée Bachiatari.. Et si je en me trompe pas je t’ai vu dans ma listes d’étudiants et je crois t’avoir vu dans les couloirs de l’école... Et quel es votre nom...

Il lui fit un autre sourire avait de passer ces mains dans ces cheveux, il avait cette manie de faire ce genre de gestes, sans même s’en apercevoir. Il reporta son attention sur le montant qui doucement augmentait assez et même trop rapidement, mais bon il avait tout de même l’argent pour payer ce genre de chose. Il mis ces achats dans une boite de carton puis attendit la réponse de la jeune femme.