Nom: Ar Duen
Prénoms: Médriwen Mérovée Maugis
Surnom : Med
Âge: 16 ans
Date de naissance : 1 février
Sexe : Masculin
Origine : Ardennes françaises
Groupe : Étudiant
Matières préférées : La chimie, les sciences naturelles et l’histoire.
Matières détestées : Sport, les cours d’art, de technologie et les maths.
Et le reste, il s’en fout.
Description physique : A 16 ans et avec 1.65 m, Médriwen est petit mais ça ne le dérange pas du tout, comme dit souvent son grand-père : « Dans la vie on a toujours besoin d’un plus petit que soi » Médriwen a les cheveux châtains clairs qu’il porte en carré dégradé. L’adolescent veut se laisser pousser sa tignasse rien que pour contrarier sa mère. Il a un nez à la retroussette et le teint pale. Les traits de son visage ainsi que le reste de son corps sont de proportion normale (ni grossière, ni fine)
Quand une remarque l’amuse, un sourire narquois apparait sur son visage. Mais si vous le cherchez un peu trop vous serez foudroyé par ses yeux bleus acier. Médriwen déteste les jeans et les baskets et est régulièrement vêtu d’une chemise blanche, d’une veste et d’un pantalon foncé ainsi que de petits souliers vernis. Sinon quand il va en randonnée, il porte un pantalon serré aux chevilles comportant un nombre incalculable de poches et des chaussures montantes.
Description psychologique : Médriwen est tenace et impulsif mais il lui arrive de garder son sang froid. En un mot si vous avez maille à partir avec lui, soit sa réaction ne se fera pas attendre longtemps et il ira jusqu’au bout, quitte à en subir les conséquences. Soit il restera calmement dans son coin mais il n’en pensera pas moins.
Quand Médriwen prend une résolution, il s’y tient coute que coute. Ce qui peut le faire passer pour être contrariant.
L’adolescent peut se révéler calculateur quand il y va de son intérêt.
A coté de ça il est loyal en amitié et quand il donne sa confiance, il l’a reprend rarement. Il est toujours prêt à suivre ou à défendre un(e) ami(e) Comme dit son grand-père c’est dans les mauvais moments que l’on reconnait ses meilleurs amis.
D’intelligence moyenne, Médriwen compense en travaillant énormément. Il aime la lecture surtout tout ce qui parle d’aventures et d’étranges royaumes. L’adolescent a le vertige. Il peut rester bloquer en plein milieu d’une passerelle à deux mètres du sol s’il regarde en bas.
Parfois il peut se révéler très dur ou insouciant.
En gros Médriwen est une teigne. Quand vous l’avez sur le dos, c’est assez difficile de l’en faire partir. A coté de ça et quand on sait gratter le vernis, sa nature profonde apparait. Là il peut se révéler charmant, gentil et aimable. L’adolescent peut parfois être excentrique. Mais ceci n’est souvent qu’une façade. Le vrai Médriwen est studieux et sérieux.
Quand il sera plus vieux, Médriwen voudrai être tout ce que sa mère ne veut pas. D’ailleurs pour ça il peut compter sur son grand-père paternel.
Famille : La famille de Médriwen est composée de son grand-père paternel, Mérovée et de la famille de sa mère. Son père, Maugis, est mort dans un accident de chasse, tué par un sanglier enragé. La mère de l’adolescent se nomme Camille Galeck et a plusieurs enfants : Oedicé Karukéra (fille, 28 ans), Luned (fille, 17 ans), Dagda (garçon, 16 ans et jumeau de Médriwen), Kaolagan (garçon, 5 ans) et Cadubodva (fille, 5 ans, jumelle de Kaolagan)
Histoire : Médriwen est né à Courmamblain à l’époque où ses parents faisaient un stage sur les plantes médicinales et les méthodes de culture. Sa mère, Camille, était pharmacienne et son père, Maugis, jardinier.
La famille Ar Duen cachait un petit secret : c’est une famille de rebouteurs et de magnétiseurs, Ils vivent dans un petit village, sur les bords de la Semois et sont restés proche de la nature.
Quand Camille rencontra Maugis, ce fut le coup de foudre immédiat. La jeune femme était mariée à un autre homme mais ce n’était pas ça qui allait l’arrêter. A l’époque la pharmacienne n’avait que deux filles (Oedicé et Luned) Quand Camille s’aperçût de sa grossesse, elle hésita longtemps avant d’en parler à Maugis. Le jardinier fut très content en entendant la nouvelle. Il voulut de suite vivre avec la jeune femme. Mais elle ne voulait pas précipiter les choses. Il fallait régler le problème de son divorce. Au fil des mois, Camille et Maugis se disputaient sans cesse. Leurs opinions sur l’éducation et sur leur manière de voir la vie divergée radicalement. Camille voulait que ses enfants fassent de grandes études alors que Maugis se moquait de ça. La jeune femme trouvait absurde l’attachement du jeune homme pour les croyances des Ar Duen. Quand ils surent que c’étaient des jumeaux, les disputes cessèrent un moment et reprirent de plus belle après quelques jours. Camille finit par retourner chez elle. Maugis ne cessait de la harceler. Finalement un compromis fut trouvé : un des jumeaux serait élevé dans la famille du père l’autre dans celle de la mère. Dagda alla dans chez Camille et Médriwen chez Maugis.
Pendant la première année tout se passa bien. Maugis adorait son fils et était fier du moindre progrès de l’enfant. Un jour qu’il était parti dans la forêt à la recherche de plantes médicinales, le jardinier fut tué par un sanglier enragé. Dés lors ce fut le grand-père, Mérovée, qui s’occupa de Médriwen. Le vieil Ar Duen était à la retraite et il avait fait toute sa carrière dans l’industrie sucrière jusqu’à finir comme ingénieur en chef. Comme tous les membres de sa famille, il était rebouteur. Mérovée y passait donc son temps de retraité. Médriwen grandit dans les pattes de son grand-père et le suivait dans toutes ses consultations. C’est à cette période que l’enfant décida qu’il serait rebouteur.
Parallèlement, à l’âge de trois ans, Médriwen commença à faire des rêves étranges dans lesquels un garçon qui lui ressemblait comme deux gouttes menait une vie très différente de la sienne. Au début ses visions perturbaient l’enfant mais à la longue il finit par s’y faire. Périodiquement il interrogea Mérovée au sujet de ses cauchemars mais celui-ci répondait invariablement que cela passerait avec l’âge.
Malheureusement, les visions s’intensifièrent, si bien que Médriwen acquit la certitude que son grand-père lui cachait quelque chose.
A onze ans, Médriwen fut envoyé dans le collège de Valmontes. Bien qu’au début l’enfant faisait tout pour se faire renvoyer, il finit par s’habituer et s’intégra finalement du mieux qu’il put. Il tomba même amoureux d’une camarade, Ashley. Mais au bout de deux ans, Médriwen dut partir : sa mère avait refait surface dans sa vie et voulait l’élever. Le jeune garçon alla vivre chez elle. Là il découvrit qu’il avait deux frères et trois sœurs. Pendant trois ans les rapports de Médriwen avec sa mère furent extrêmement difficiles. Quand elle faisait un pas vers lui, le garçon s’arrangea pour tout gâcher. Il ne voulait qu’une chose : retourner auprès de son grand-père. Sa mère l’avait abandonné à la naissance et il n’avait pas besoin d’elle. Quand Médriwen eut seize ans, Camille se rapprocha de Mérovée et ensemble ils décidèrent d’envoyer l’adolescent parfaire son éducation dans une nouvelle école. C’est ainsi que le jeune homme débarqua à Bachiatari.
Signe particulier physique : Médriwen porte un médaillon qu’il a depuis sa tendre enfance. Le pendentif est en argent et un G oghamique est gravé dessus. C’est un bijou de famille qui lui vient de sa mère. L’adolescent y est très attaché même s’il se dispute régulièrement avec Camille.
Signe particulier psychologique : Il adore les plantes par-dessus tout.
Comment avez-vous connu le Lycée Bachiatari? En faisant des recherches sur le nom de mon perso.
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